‘’Faisons affaires ensemble’’ est une association à but lucratif au travers d’investissements collectifs.
D’après sa conception, elle est une association où tous les participants doivent jouer à la fois le rôle de patrons et d’employés. Elle ne veut compter dans ses rangs que des « homo economicus » et non des figurants pour mettre ses projets à exécution.
Sous le bénéfice de ce qui précède, nous allons décliner notre vision ainsi que nos valeurs à partir des points qui seront successivement développés dans le cadre de cette présentation.
N’importe quel pays pauvre peut devenir riche s’il le souhaite, la richesse n'étant ni plus ni moins qu’une question d’hommes, dans le sens générique du terme.
Ce qui fait la grandeur des pays comme les Etats-Unis, la France, l’Allemagne, l’Angleterre, et j’en passe, ce ne sont pas leurs seules ressources matérielles mais la qualité de leurs ressources humaines. En naissant, l’homme n’est que projet. Il est potentiellement une valeur à développer pour qu’il soit à même de s’accomplir pleinement. En moyenne, un habitant sur trois est millionnaire à Monaco. C'est la zone qui comprend le plus de millionnaires au mètre carré au monde. Pourquoi d’après vous ? Réfléchissez et devenez riche.
L’idée selon laquelle ‘’Tout est une question d’hommes’’ n’est pas née dans l’esprit embué d’un individu sous l’effet de l’alcool. Aussi, faut-il comprendre qu’aucune contrée de la terre aussi riche que soit son sol et sous-sol ne peut se passer de ressources humaines talentueuses, visionnaires, responsables. Les RH sont le socle, les fondamentaux même du développement d’une société.
‘’Tout est une question d’hommes’’ doit être considéré comme un défi ; un défi lancé contre la pauvreté, l’échec versus la richesse et la réussite
Si ce qu’on veut faire, on ne peut pas le faire seul, il faut le faire avec d’autres, cela va de soi. Aucun homme n’est suffisant à lui-même, sinon on se passerait bien de la notion de sociabilité. Naturellement, la création de richesse réside dans l’initiative privée au travers d’investissements. Or, il arrive qu’on peut avoir de bonnes idées sans avoir les moyens financiers de les mettre à exécution d’où la nécessité de comprendre l’importance de la mise en commun. Oui, il y a des idées géniales qui n’ont jamais pu se concrétiser à cause d’un comportement individualiste. La seule façon d’empêcher que cela arrive c’est d’être en communion ou en relation avec les autres.
L’individualisme de son côté a un aspect bien positif, on n’en disconvient pas. Mais, il faut, bien entendu, autant que possible, l’éviter pour ne tomber dans un insularisme économique et une attitude de méfiance vis-à-vis de l’autre. L’hyper-individualisme a comme conséquences, l’existence d’une multitude d’initiatives individuelles (pour la plupart, de petites entreprises rachitiques sans perspective de croissance) et l’existence d’entreprises familiales avec transmission intergénérationnelle mais refermées sur elles-mêmes.
La diversité en soi est déjà une richesse
E PLURIBUS UNUM
N’importe qui peut devenir riche s’il comprend, qu’on peut réaliser ses rêves à travers ceux des autres autour d’un intérêt commun
Les tenants de la morale de l’intérêt ont fait valoir que l’intérêt individuel réside dans l’intérêt général ou collectif. Ce point de vue est fondé pour la simple et bonne raison que chacun peut trouver sa part dans le collectif où il est incorporé. En contribuant à la création d’une entreprise, on devient ipso facto intéressé par le succès de cette dernière. On veut la voir grandir et prospérer. Le plus souvent, l’initiative individuelle s’inscrit dans une logique de subsistance tandis que l’initiative collective vise l’agrandissement d’un patrimoine grâce auquel tout le monde s’en tire à bon compte.
L’initiative collective tient sa force dans la solidarité, dans l’intérêt commun. Elle rend libre et fort.
Le concept économique au plus grand nombre est un concept qui fait école dans l’économie mondiale pour ce qu’il compte dans ses rangs en termes de penseurs, d’idées, de capitaux, de talents et de pouvoir. Il accroit les chances de réussite. Ainsi, composer avec le plus grand nombre est capital à l’échelle économique. Il y a des prêts, des avantages, des bénéfices et des résultats qu’on n’obtiendra jamais à l’échelle individuelle et les exemples sont nombreux.
Tout pays ou toute ville peut devenir la capitale du monde s’il s’inscrit dans un modèle économique ou tout le monde y trouve sa juste part.
L’équilibre dans les rapports financiers et économiques entre les hommes existe mais l’égalité non, tout le monde n’ayant pas les mêmes capacités ou les mêmes moyens disponibles à son actif. L’équilibre se définit ici comme invitation, investissement, participation et degré d’investissement et de participation ; on récoltera ce qu’on aura semé, ce qui vous revient vous reviendra. Y trouver, y recevoir sa juste part est l’un des fondamentaux de «Faisons affaires ensemble ».
Devenir la capitale du monde revient à «Tout est une question d’hommes ». C’est pourquoi «Faisons affaires ensemble » qui se veut un concept rassembleur n’a pas de patrie, ni de frontières. Ce concept n’est ni noir ni blanc. Il est des hommes et des femmes décidés, dans une mise en commun de capitaux, à changer le cours de leur destin financier et économique.
N’importe qui peut devenir riche s’il comprend bien qu’autant qu’un capital de travail peut se construire par une seule personne, il peut se construire également par un groupe de personnes dépendamment de la vision, de l’ambition, de la dimension à laquelle le capital fait référence.
Même si l’apport de capitaux est la dernière chose à laquelle il faut penser en affaires, il n’en demeure pas moins qu’il en est la pièce maitresse. C’est le socle sans lequel le processus est voué à l’échec. De plus, il faut prendre en compte la nécessité de composer, de faire avec les autres. C’est, en tout cas, l’initiative la plus viable. Notez, cependant, que le choix entre la mise en commun de capitaux et un capital individuel en matière d’investissement dépend de l’objectif visé, des risques encourus, et de la stratégie envisagée.
Et même, lorsque quelqu’un dispose de fonds importants, il n’a pas intérêt à prendre seul les risques d’un investissement qui mobilise beaucoup de ressources financières et économiques.
En 12 mois un groupe de personnes décidées peuvent changer le cours de leur avenir financier et économique en créant une communauté d’intérêts. Les petits ruisseaux font les grandes rivières. On peut entrer dans la cour des grands sur un claquement de doigts en s’associant.
La majorité des êtres humains rêvent de posséder argent, belles voitures, prendre de belles vacances, finir avec la corvée, l’inquiétude du lendemain et vivre la dolce vita. C’est tout à fait possible s’ils le veulent. Vouloir c’est pouvoir, pourvu qu’on s’en donne les moyens ou qu’on soit, à tout point de vue, fonceur. Si des hommes et des femmes parviennent à unir leurs talents, leur argent, leur capacité et leur sérieux, oui c’est possible.
L’apport de petits capitaux cumulés ou de grands capitaux constitue, au final, une somme importante d’investissement. Mais sans la volonté, la vision, l’ambition qui est la pierre angulaire de toute réussite, quelle que soit la nature d’un projet, la cour des grands sera inaccessible.
Entrer dans ce cercle très fermé de gens aisés vivant sans crainte des lendemains difficiles suppose non seulement un investissement collectif mais aussi la création d’une communauté d’intérêts.
Un groupe d’investisseurs peut avoir des espérances élevées s’il reste soudé et assure une bonne gestion de leur affaire
L’union fait la force.
Toute activité humaine a besoin de quelqu’un pour faire bouger les lignes. Dans des activités qui consistent à mettre ensemble des avoirs, c’est bien d’un leader dont on a besoin. Il appartiendra au groupe d’élire son leader, son conseil d’Administration, de fixer ses objectifs qui devront guider la ligne de conduite des gestionnaires lesquels seront tenus de rendre compte.
Créons ensemble des entreprises.
Les entreprises nées des initiatives collectives ont tendance à être plus fortes comparativement à celles qui naissent des initiatives individuelles. La législation en la matière y est, bien sûr, pour quelque chose, car on ne badine pas avec l’argent d’autrui. Dix, vingt, trente, ou même davantage, initiatives individuelles qui ont du plomb dans l’aile, c’est-à-dire qui n’arrivent pas véritablement à décoller, auraient fait une excellente initiative collective. Il faut donc sortir du cadre étriqué de la boutique et de la subsistance, pour passer à un cadre élargi comme les grandes surfaces ; celui de la mise en commun où les risques s’assument collectivement. Toutes les banques sont des initiatives collectives.
S’associer c’est se mettre avec d’autres en vue de l’obtention des objectifs personnels, groupaux et organisationnels. C’est prendre des risques calculés sachant que finalement ça rapporte gros de ne pas garder son argent pour soi ou sur un compte bancaire qui ne génère aucun profit. On ne crée pas la richesse avec un portefeuille bancaire bien garni mais plutôt en créant des entreprises qui donnent du travail aux gens et qui font de grands profits. Dans la majorité des cas, on n’y arrive pas seul mais en conjuguant ses efforts avec d’autres : vive la vie associative, vive même l’économie sociale et solidaire.
Ce qui peut se réaliser sur le plan local peut s’étendre sur le plan national et international dans le respect des lois sur la finance et l’économie.
Etendre les services d’une association locale sur le plan national et international est plus qu’un devoir, c’est une nécessité. Rien n’empêche de faire l’exercice. Rien n’est possible à quelqu’un qui ne soit pas possible à quelqu’un d’autre. Si la raison est la chose la mieux partagée, la matière grise l’est tout autant. Il suffit d’un peu de volonté, de courage et de la connaissance dont on vante, à bon droit, toutes les vertus. Si le monde des affaires se confinait uniquement dans la logique de l’entreprise familiale, locale voire régionale certaines entreprises telles que les transnationales et multinationales n’auraient jamais vu le jour et les affaires ne seraient jamais ce qu’elles sont aujourd’hui et l’économie mondiale en conséquence.
L’imitation est une source inépuisable d’idées, de valeurs sûres mais elle renvoie toujours à la périphérie de la richesse. Ce qui se fait chez les autres n’est pas forcément bon pour soi-même; ce qui est bon pour un pays n’est pas forcement bon pour un autre pays, ainsi de suite. Tel est notre devise, notre vision des affaires.
L’économie en pâtit toujours lorsque les acteurs procèdent à des choix infructueux ; ce qui se fait chez les autres n’est pas forcément bon pour soi-même; ce qui est bon pour un pays n’est pas forcement bon pour un autre pays, et vice versa. Même si le développement s’imite à grande intensité dans le monde et qu’un modèle peut en inspirer un autre, il n’y a rien comme un développement spécifique ou endogène. Le développement ne s’exporte pas, dit-on.
Il est plus facile aujourd’hui grâce aux technologies de faire passer nos idées et ceci sur le plan planétaire, le monde étant devenu village global. Il est donc possible maintenant plus que jamais de penser et d’agir autrement, de sortir des sentiers battus en fonction de nos besoins, de nos ambitions. Il ne faut pas avoir peur de se mettre ensemble en se disant «L’enfer c’est les autres ou Après moi, le déluge
“ Un temps pour chaque chose et chaque chose en son temps ”
Il est donc venu le temps de rebattre les cartes et de fixer des règles nouvelles pour atteindre votre but. ‘’Faisons affaires ensemble’’ vous invite à devenir un businessman, à faire cause commune avec d’autres pour vous enrichir mutuellement si jamais cela vous tente de modifier le cours de votre destin et devenir un businessman accompli.
Nous n’avons pas tous les mêmes aptitudes, les mêmes moyens, les mêmes volonté et motivation, mais nous pouvons opter pour le succès, la réussite économique conjointe si nous nous acceptons et si nous acceptons de nous joindre mutuellement dans cette association de complémentarité d’affaires afin qu’ensemble nous puissions conjuguer nos efforts pour produire de la richesse.
Cependant ne nous illusionnons pas. Même si ‘’Faisons affaires ensemble’’ est une bonne partie, il faut vous bien mettre dans la tête que pour réussir, les bras ne doivent pas rester croisés et la vigilance doit être toujours de rigueur.
‘’Faisons affaires ensemble’’ est en train de travailler sur la technique et les conditions de son offre afin de vous offrir un produit techniquement adapté à tous les niveaux.
Quelques considérations
Beaucoup d’individus ont perdu de l’argent pour s’être aventurés dans des domaines d’affaires qu’ils ne maîtrisent pas.
Les offres publicitaires promettent toujours monts et merveilles, des avantages monstres, faciles à obtenir sans tracas; mais rien n'est plus faux.
Pourquoi?
Parce que le monde ne fait pas de cadeau. Gagner de l’argent est dans la plupart des cas un vrai calvaire. Et perdre de l’argent est la chose la plus facile qui soit comme s’il s’était donné pour mission de vous faire trébucher chaque fois que vous l’avez en votre possession.
Il faut oser entreprendre, certes, mais jamais aveuglément sans véritable analyse du domaine d’investissement.
"Faisons affaires ensemble" n’offre rien qui n’associe pas vos capitaux, votre volonté, votre ambition, votre travail et vos efforts.
A très bientôt !!!
MERCI
‘’FAIRE AFFAIRES ENSEMBLE”est une association à but lucratif imprégnée d’une vision large, globale, cosmopolite acceptant en son sein des gens de tout horizon et de toutes races. Ainsi, elle invite toutes personnes désireuses de se mettre en commun à la recherche d’une autre manière de *FAIRE AFFAIRES*, à devenir membre-investisseur dans l’un ou plusieurs de ses projets porteurs. C’est un appel à la solidarité financière et économique pour une action d’investissement et de revenus commune sans nier les risques liés à toute action d’investissement. L’association entend se frayer un chemin menant au succès de tous ses membres indistinctement.
N.B Faisons affaires ensemble travaille à la construction d’un plan technique associatif et à l’étude de faisabilité et de rentabilité du projet pour être soumis au vote de ses membres.
Le portefeuille de membership est ouvert sans engagement
’FAIRE AFFAIRES ENSEMBLE”est une association à but lucratif imprégnée d’une vision large, globale, cosmopolite acceptant en son sein des gens de tout horizon et de toutes races. Ainsi, elle invite toutes personnes désireuses de se mettre en commun à la recherche d’une autre manière de *FAIRE AFFAIRES*, à devenir membre-investisseur dans l’un ou plusieurs de ses projets porteurs. C’est un appel à la solidarité financière et économique pour une action d’investissement et de revenus commune sans nier les risques liés à toute action d’investissement. L’association entend se frayer un chemin menant au succès de tous ses membres indistinctement.
N.B Faisons affaires ensemble travaille à la construction d’un plan technique associatif et à l’étude de faisabilité et de rentabilité du projet pour être soumis au vote de ses membres.
Le portefeuille de membership est ouvert sans engagement